La Lune et le Soleil se retrouvent dans le signe du Taureau.
Nouveau cycle lunaire pour une mise en forme sous l’angle vénusien de la beauté et du plaisir des sens.
La matière se met au service de la recherche de sécurité et du besoin de confort.
Le Taureau invite à la réceptivité des énergies célestes en vue d’une incarnation concrète, comme une coupe qui reçoit et qui permet de goûter la vie dans toute sa splendeur.
Cette Nouvelle Lune est une invitation à l’éveil des sens, à l’écoute des perceptions, des sensations corporelles, des envies du ventre et à l’appel du bien-être.
Le Taureau, dans sa quête de calme et de tranquillité, est un signe de terre, enraciné, qui s’inscrit dans le respect des cycles et des rythmes du temps.
Rien ne sert de courir pour atteindre la stabilité.
Tout se situe dans la présence, le vivant, en cet instant précis.
Il est question de profiter du moment présent, en toute simplicité, et d’entrer dans le plaisir qui se révèle au travers du relationnel et de la matière (nourriture, art, textures, sensualité, sexualité, ...).
De se reconnecter à son bien-être instinctuel primaire, à l’énergie nourricière de la terre, celle qui élève, fait grandir le corps physique et l’âme.
Il s’agit de prendre soin.
D’écouter les besoins du corps et d’y répondre.
De satisfaire les besoins de sécurité matérielle, physique et affective.
De flâner et d’entrer en communion avec l’harmonie de la nature.
De s’autoriser un moment suspendu qui permet un retour à une concrétisation de l’instinct d’amour absolu.
Les luminaires installés dans ce signe nous rappellent la valeur inscrite derrière chaque chose, chaque situation ou personne.
Le sens se cache dans la matière et nous sommes invités à le faire jaillir.
En nous ouvrant à la créativité de notre être, nous pouvons nous connecter à la beauté qui sous-tend à chaque instant.
Nous sommes appelés à savourer chaque échange, à modeler la forme de la substance depuis nos tripes qui pulsent l’envie d’harmonie et l’amour universel.
Et à mettre du sacré dans chacun de nos actes, même le plus infime...
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